Voici ce qu'on peut trouver sur le site du Figaro...
Anecdote : C'est à cause de ses otites répétées qu'Erik Orsenna a écrit La grammaire est une chanson douce, livre qui allait passionner les Français et le poussa à en écrire d'autres sur le subjonctif, les accents, la ponctuation, les mots… Il l'explique avec cette verve qui ne le quitte jamais: «L'idée de départ était simple. Je ne comprenais pas les questions que l'on posait en français à mes enfants. Les instituteurs n'osaient pas dire grammaire, on disait “Observation réfléchie de la langue”: ORL. C'était
un cauchemar. D'ailleurs, j'avais de nombreuses otites!» Pour rendre moins ennuyeuses les leçons de ses enfants, il décide donc de rédiger un conte qui rencontre un immense succès.
Un quatuor : L'accueil a été tel que des suites lui ont été réclamées:Les Chevaliers du subjonctif, La Révolte des accents, puis Et si on dansait? (sur la ponctuation). Au total, plus de 1,2 million d'exemplaires ont été vendus.
La finale: Aujourd'hui, Erik Orsenna clôt la série avec La Fabrique des mots. Cette fois, Jeanne devra défier un dictateur qui veut brûler les dictionnaires et réduire le monde en douze verbes et supprimer tous les autres mots…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire